Meldinger: 1
Språk: Français
opajpoaj (Å vise profilen) 2017 4 7 20:50:26
→ metteur en branle
Quant au quarteron de leurs langues, dites de 'civilisation', languides par le laisser-aller de leurs médias, involuées pour de bon par le débraillé des masses, hors de cette quelqu'une¹ dont le prochain succès les inquiète tant, alors qu'elle seule, si jeune, si riche, si coruscante d'idéals, sera garante de l'intégrité de toutes, il apparaît caractérisé dans l'ordre commun par ces traits : l'application de chacune de ces langues 'académiques' à assurer uniquement la reproduction de stupides formes fixes, d'ineptes stéréotypes, au mépris de tout intérêt pour leurs ilotes usagers lambdas noyés sous des accumulations d'exceptions, abîmés dans les polysémies ; la frénésie de gloriole, l'égotisme, auréolé de la 'divine' bénédiction du 'génie' de ladite langue (Pensez donc ! la langue de 'nos pères' !) (alors qu'elles sont toutes nécessairement mâtinées, abâtardies) (plus récemment, dans certaines contrées, telle ou telle se prévalait du 'sens de l'Histoire') ; la superbe étalée à tout bout de 'chant du monde', pourtant seriné dans le seul idiome des beaux esprits psittacins, superbe saluée du nom de 'sens de la mondialisation' ; l'acceptation factice du babélisme, mais aussi chez d'aucunes l'inclinaison indélébile, fût-elle le déni de tout droit, de toute loi, devant l'état de fait de leur sénescence.
Quant à ce pragmatisme des locuteurs de parlers déjà cacochymes que l'on traiterait volontiers de collaborateurs opportunistes, voire de bravi affidés, si, à corps perdu encore que défendant, ils ne sussent susciter la longanimité à leur endroit, il fait apparoir de la pusillanimité d'iceux et d'icelles, attribut spécifique des téléphages au cerveau déliquescent qui, thuriféraires de la post-vérité, succombent à l'éclat cosmétique de leur ego, dilaté par les réclames, mais aussi écartelé, esquinté de thématiques psychosomatiques et de problématiques et d'autres hics mélodramatiques plus arraisonnants d'abysses les uns que les autres, autre apanage de ces macchabées charriés par les eaux de l'oubli, ces soi-disant sapiens sapiens sapien sapie sapi sap sa s ²
Ces obscures agonies râlées en hoquets ouatés par leurs logiciels de synthèse d'une parole que peu maîtrisent encore depuis le matraquage publicitaire bêtifiant participent, pontifient-ils avec une contention singulière, de leur naturelle catagenèse. Si vous leur en signalez quelqu'une, l'on vous répond non d'ailleurs sans quelque couéiste enjouement : « Que voulez-vous, c'est le Destin ! Que faire là-contre ? »
Rappelons enfin l'obstination, qu'ont en propre les responsables de leur conjectural œcuménisme, de multiplier les procédés dilatoires, les avis captieux, les refus spécieux, par le moyen de leur prétendue sagacité de paternes badernes ; le démon du créateur de la seule koinè humaine modelée à ce jour ne cesse d'observer à ce propos, sertis dans leur intrinsèque tartuferie, les engagements (duplices) en faveur du multilinguisme à l'effet de promouvoir la diversité plutôt que l'uniformité ! Que ne savent-ils régner sans diviser !
En somme, si l'on excepte le grand œuvre du Prescient de Bialystok qui est l'honneur du genre humain, ces langues sublunaires offrent peu d'intérêt.
¹ que je viens de dire et de redire dans d'autres billets
² (discret hallali de cette espèce sortie des flots et soldée aujourd'hui en minque plutôt que vendue à l'encan...)
Quant au quarteron de leurs langues, dites de 'civilisation', languides par le laisser-aller de leurs médias, involuées pour de bon par le débraillé des masses, hors de cette quelqu'une¹ dont le prochain succès les inquiète tant, alors qu'elle seule, si jeune, si riche, si coruscante d'idéals, sera garante de l'intégrité de toutes, il apparaît caractérisé dans l'ordre commun par ces traits : l'application de chacune de ces langues 'académiques' à assurer uniquement la reproduction de stupides formes fixes, d'ineptes stéréotypes, au mépris de tout intérêt pour leurs ilotes usagers lambdas noyés sous des accumulations d'exceptions, abîmés dans les polysémies ; la frénésie de gloriole, l'égotisme, auréolé de la 'divine' bénédiction du 'génie' de ladite langue (Pensez donc ! la langue de 'nos pères' !) (alors qu'elles sont toutes nécessairement mâtinées, abâtardies) (plus récemment, dans certaines contrées, telle ou telle se prévalait du 'sens de l'Histoire') ; la superbe étalée à tout bout de 'chant du monde', pourtant seriné dans le seul idiome des beaux esprits psittacins, superbe saluée du nom de 'sens de la mondialisation' ; l'acceptation factice du babélisme, mais aussi chez d'aucunes l'inclinaison indélébile, fût-elle le déni de tout droit, de toute loi, devant l'état de fait de leur sénescence.
Quant à ce pragmatisme des locuteurs de parlers déjà cacochymes que l'on traiterait volontiers de collaborateurs opportunistes, voire de bravi affidés, si, à corps perdu encore que défendant, ils ne sussent susciter la longanimité à leur endroit, il fait apparoir de la pusillanimité d'iceux et d'icelles, attribut spécifique des téléphages au cerveau déliquescent qui, thuriféraires de la post-vérité, succombent à l'éclat cosmétique de leur ego, dilaté par les réclames, mais aussi écartelé, esquinté de thématiques psychosomatiques et de problématiques et d'autres hics mélodramatiques plus arraisonnants d'abysses les uns que les autres, autre apanage de ces macchabées charriés par les eaux de l'oubli, ces soi-disant sapiens sapiens sapien sapie sapi sap sa s ²
Ces obscures agonies râlées en hoquets ouatés par leurs logiciels de synthèse d'une parole que peu maîtrisent encore depuis le matraquage publicitaire bêtifiant participent, pontifient-ils avec une contention singulière, de leur naturelle catagenèse. Si vous leur en signalez quelqu'une, l'on vous répond non d'ailleurs sans quelque couéiste enjouement : « Que voulez-vous, c'est le Destin ! Que faire là-contre ? »
Rappelons enfin l'obstination, qu'ont en propre les responsables de leur conjectural œcuménisme, de multiplier les procédés dilatoires, les avis captieux, les refus spécieux, par le moyen de leur prétendue sagacité de paternes badernes ; le démon du créateur de la seule koinè humaine modelée à ce jour ne cesse d'observer à ce propos, sertis dans leur intrinsèque tartuferie, les engagements (duplices) en faveur du multilinguisme à l'effet de promouvoir la diversité plutôt que l'uniformité ! Que ne savent-ils régner sans diviser !
En somme, si l'on excepte le grand œuvre du Prescient de Bialystok qui est l'honneur du genre humain, ces langues sublunaires offrent peu d'intérêt.
¹ que je viens de dire et de redire dans d'autres billets
² (discret hallali de cette espèce sortie des flots et soldée aujourd'hui en minque plutôt que vendue à l'encan...)